“Pour sauver le monde, il suffit de danser”, affirme Andrew Charalambous, un avocat milliardaire qui a ouvert à Londres, en Angleterre, en juillet dernier, la première discothèque écolo. Le Bar Surya mise sur le principe peu connu de la “piézo-électicité”: l’énergie générée par les danseurs est recyclée grâce à des transformateurs électriques situés sous la piste de danse, ce qui permet de couvrir jusqu’à 60% des besoins électriques de la discothèque. Cette “piste verte” est aussi à l’honneur au club Watt, inauguré le 4 septembre dernier à Rotterdam, aux Pays-bas. Les gobelets y sont bien sûr recyclables, les bouteilles dégradables, et des projets sont à l’étude pour alimenter la chasse d’eau des toilettes en récupérant l’eau de pluie… ou la sueur des danseurs.
Danser pour sauver le monde
(Crédits: Ségolène Barbé Psychologies magazine novembre 2008)